Discussion:Toulouse FC (1937)/Droit d'auteur

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons
  • Les zones indiquées par l'aide en italique doivent être correctement remplies.

Auteurs, merci de suivre la procédure de republication.

Signalé par : AEIOU 9 avril 2006 à 06:28 (CEST)[répondre]

Dans cet extrait de l'article les passages en rouge ont été copiés sur francetelecom.com ou bien sur cette page web [1] (dans le cache de google). Une source est indiquée en bas : « Extraits du "Dictionnaire historique des clubs de football français", 1999, éditions Pages de Foot. »

J'ai demandé à clio64 de nous dire quoi faire puisqu'il est l'auteur de l'article.--P@d@w@ne 12 avril 2006 à 14:35 (CEST)[répondre]
clio64 est l'auteur lui même de la source donc pas de problème--P@d@w@ne 12 avril 2006 à 14:42 (CEST)[répondre]
Maintenant je demanderai à la personne ayant créé la page si elle détient les droits sur l'article. Vu que ça peut arriver, comme ici. :-) AEIOU 15 avril 2006 à 17:42 (CEST)[répondre]

Deux clubs dominent le football toulousain avant le Première Guerre mondiale : le Stade Olympique des Etudiants Toulousains et le Stade Olympien Vélo Sport de Toulouse. Les « Etudiants » se paient même le luxe d'éliminer sèchement (5-0!) l'Olympique de Marseille (1905) et le fameux Olympique Cettois (1907) en phases finales du championnat de France U.S.F.S.A. Hélas, les Toulousains n'atteignent jamais la finale nationale, échouant en demi-finales en 1905 et 1906. Les Etudiants se muent en « Stade Toulousain » (1908) et dominent sous ce nom la période allant jusqu'à la première guerre mondiale, sans pour autant atteindre les demi-finales nationales.

Ainsi, contrairement à une légende tenace, le football de « haut niveau » est pratiqué dans la Ville Rose depuis déjà un siècle! Toulouse, à l'image de Bordeaux, est à la pointe du football dans une zone pourtant largement favorable au rugby. Rappelons ici que les rugbymen du Stade Toulousain n'engrangent leur premier titre national qu'en 1912.

La fondation du club[modifier le code]

L'entre-deux-guerres est nettement plus favorable aux manieurs de ballon ovale. Toutefois, l'idée de créer un grand club pro à Toulouse émerge rapidement. Le 7 juillet 1936, une commission de propagande pour l'implantation du football professionnel à Toulouse se réunit sous l'impulsion de M. Lauriol et du président du FC Sète voisin, Georges Bayrou. On décide d'organiser des matches de prestige afin de jauger le potentiel de spectateurs dans la cité des violettes. La première rencontre oppose le club espagnol de Baladona au FC Sète (victoire sétoise 3-0) devant 10.000 spectateurs. Les Sétois affrontent ensuite Cannes : nouvelle victoire de Sète et surtout nouveau succès populaire. Enfin, le 3 janvier 1937, les Toulousains goûtent au football européen avec un match Wiener de Vienne contre Kipest de Budapest. Ces matches d'exhibition s'étant montrés concluants en terme de recettes, la création d'un club professionnel à Toulouse est décidée.

Le 20 mars 1937, dans une salle du 9 place des Arcades au Capitole, naît le Toulouse Football Club, dont les couleurs sont rouge et blanche. M. Lauriol en est le président. Le club est admis à disputer le championnat professionnel de Division 2 en juillet 1937. Le Stadium (10.000 places) est mis en chantier en cette même année 1937 afin d'accueillir la prochaine Coupe du monde de football.

Les débuts du club (1937-1939)[modifier le code]

Le premier entraîneur-joueur de Toulouse est l'ancien capitaine de l'équipe de France, Pierre Cazal. Le gardien Roux et les attaquants Cammarata, Laurent et Jelinek sont les fers de lance de la jeune équipe. Pour leur première saison, les Rouge et Blanc terminent à une honorable 7e place. En Coupe de France, le T.F.C. atteint le stade des 8es de finale. L'Olympique Lillois met fin à cette campagne (1-0).

L'avant-centre Planques signe à Toulouse pour la somme importante pour l'époque de 65.000 F. Avec ses coéquipiers, il mène le T.F.C. en 4e position du championnat 1938-39.

Le club pendant la guerre (1940-1945)[modifier le code]

Mais la guerre intervient. De nombreux joueurs s'exilent à Toulouse, et le club devient une place forte du football français. Au cours de la saison 40-41, le T.F.C., renforcé par les Racingmen Raoul Diagne, Dupuis et Zatelli, enlève la finale de la Coupe de France de zone non occupée face à Association Sportive de Saint-Étienne (1-0 but de Zatelli). En finale inter-zone, les Toulousains, qui pratiquent un W.M. défensif avec marquage individuel, sont battus 3-1 par les Girondins de Bordeaux. Deuxième des championnats de zone Sud 1941 et 42, le T.F.C. est enfin sacré champion en 1943.

La saison suivante, la funeste réforme du colonel Pascot transforme le T.F.C. en Toulouse-Pyrénées. Cette équipe fédérale atteint la 6e place en championnat et les 8es de finale de la Coupe de France, tandis que le T.F.C. amateur est éliminé en 16es.

Dès 1944, les équipes fédérales disparaissent et le T.F.C. professionnel renaît. Toulouse parvient en demi-finales de la Coupe 1945, mais est sèchement éliminé par Lille, 4-0.


  • Pas de problème concernant le "copyright" de ces écrits. Ils sont bien extraits de la source indiqué en bas de page ("Dictionnaire historique des clubs de football français", 1999, éditions Pages de Foot.). Je possède les droits concernant ce texte écrit par ma pomme à la fin des années 1990 et publié en 1999. Clio64 12 avril 2006 à 14:38 (CEST)[répondre]